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- Dans Oncogene, trois auteurs américains passent en revue les données récentes qui "impliquent des gènes spécifiques à la fois dans le cancer et les maladies neurodégénératives."
- Le Journal of Pathology consacre son premier numéro virtuel aux "progrès récents dans notre compréhension de p53, cet important suppresseur de tumeur".
- Dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), une équipe américaine identifie le rôle des "micro-ARNs 17/20 dans l'inhibition de l'invasion cellulaire et du processus métastatique dans le cancer du sein".
- Dans PNAS également, une équipe américaine montre que "la génération d'espèces réactives de l'oxygène par les mitochondries est essentielle pour la prolifération cellulaire et la tumorogenèse induites par Kras" (article en libre accès).
- Dans Clinical Cancer Research, une équipe européenne montre, à partir d'une analyse de 160 tumeurs de neuroblastome dont 11 tumeurs associées à des délétions 11q, que "des profils d'expression de micro-ARNs permettent de définir, au sein des tumeurs 11q, deux sous-types biologiquement et cliniquement distincts de neuroblastome."
- Dans Cancer Research, deux chercheurs américain et britannique passent en revue le rôle des réseaux de co-activation des récepteurs à tyrosine kinase dans l'apparition d'une résistance à la chimiothérapie.
- Dans Nature Reviews Cancer (NRC), deux auteurs américains passent en revue "les progrès récents dans la pathologie moléculaire des gliomes malins et des médulloblastomes".
- Dans NRC également, deux auteurs britanniques revisitent 40 ans de recherches sur "la susceptibilité héréditaire aux cancers communs", mettant notamment l'accent sur "la dernière décennie au cours de laquelle on est passé de modèles de prédisposition basés sur des mutations causales monogéniques à des modèles multigéniques".
- Dans Nature Cell Biology, des chercheurs néerlandais, allemands et italiens suggèrent que "l'acquisition de caractéristiques de cellules souches par des cellules de cancer du côlon est en partie orchestrée par le microenvironnement tumoral, via l'activation de la voie de signalisation Wnt, et qu'il s'agit d'une qualité beaucoup plus dynamique que prévu" (voir aussi le commentaire).